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Histoire
de quelques Doukkalis
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A tous ceux qui connaissent
l'histoire de personnalités de notre région, etc, faites le
savoir. J'attends vos textes, et vos recherches. Je vous remercie
par avance. Malek
Sommaire:
Abou Chouaïb Doukkali Ben Abderrahmane Seddiki Doukkali naquit le
20 octobre 1878 dans le village d'Oulad Amrou Al Gharbia, situé à
30 Kilomètres de la localité d'Al Gharbia, connue auparavant sous
le nom de Mechtraya, dans la région des Doukkala. C'est là qu'il
fut élevé et reçut une éducation alliant études et travail des
champs. Son premier maître fut son oncle Mohamed Ben Abdelaziz
Doukkali; il reçut ensuite les leçons de l'oncle de son père
Abderrahmane et, enfin, de son cousin Tahar Ben Kaddour Al Gharbi
Doukkali.
Dans les livres des écrivains les plus réputés de l'époque, il
apprit l'écriture et la lecture. Il apprit également le Coran et
se perfectionna dans ses sept lectures sous la férule de son
maître Mohamed Ben Lamaachi, ami de la famille Seddiki.
De nombreux historiens rapportent que, dès sa jeunesse, Abou
Chouaïb avait de grandes facilités d'apprentissage. Ainsi, en
1891, âgé de treize ans seulement, remporta-t-il un concours
scientifique organisé par le Palais Royal sur l'ordre de Sa
Majesté Moulay Hassan 1er.
Assiduité
Les organisateurs furent surpris, non seulement de sa grande
maîtrise du Coran, mais également de sa parfaite connaissance des
règles de la grammaire et de la syntaxe. Le Souverain le convia au
Palais, ordonna qu'on le récompensât pour son savoir et le nomma
à la célèbre Université Qaraouiyine, avec appointements
mensuels.
Animé de la soif du savoir et du désir de parfaire sa culture,
Abou Chouaïb partit pour l'Orient et fut le disciple des grands
savants d'Al Azhar, de la Mecque et de Médine.
Ceux-ci le récompensèrent pour son assiduité et ses remarquables
aptitudes à l'étude. D'autres sociétés savantes du Yémen,
d'Irak et d'Inde lui attribuèrent également des récompenses.
Ses mérites furent tellement appréciés qu'on lui attribua une
chaire à l'Université d'Al Azhar, alors qu'il n'avait pas atteint
20 ans. Il fut même invité à prononcer le prêche à la Mecque,
après avoir remporté le premier prix d'un grand concours organisé
par Al Azhar.
Bienfaits
Lors de son séjour au Hijaz, il établit de nombreux contacts avec
les savants et les dignitaires de cette contrée et noua d'étroites
relations avec les princes de ces pays.
En 1907, onze ans après son départ pour l'Orient, Abou Chouaïb
retourna au Maroc. Il avait alors 29 ans. Convaincu de la qualité
et de l'étendue de son savoir, le Sultan Moulay Abdelhafid le
convia à son Palais, l'entoura de ses bienfaits et le nomma juriste
à Marrakech et Président du Conseil scientifique de la ville de
Fès. Il l'autorisa également à assurer des cours dans
différentes villes du Royaume, particulièrement Rabat, Fès et
Marrakech.
Abou Chouaïb bénéficia des mêmes privilèges sous les règnes de
Moulay Youssef et de Mohammed V. En sa qualité d'homme de droit, il
fut nommé ministre de la Justice et Président de la Cour d'Appel
de Rabat. Il conserva parallèlement ses fonctions d'enseignant.
Le nom d'Abou Chouaïb Doukkali est lié également à la
propagation de la doctrine de la Salafiya dans la pensée marocaine.
L'importance du rôle qu'il a joué est en étroite relation avec sa
fonction d'éducateur. Il enseigna en effet le Fikh - en général -
et le Hadith et le Tafsir en particulier.
Vecteur de transmission
L'objectif de son enseignement fut d'approfondir l'explication du
Coran et de la Sounna, qu'il considérait comme la base de tout
comportement.
Tenant de la Salafiya, il préconisait de s'appuyer sur la tradition
religieuse. Il rejetait ainsi tout ce qui s'écartait de la
religion, de même que les agissements, les traditions et coutumes
ne relevant pas de l'Islam et toute action susceptible de lui être
préjudiciable.
En l'absence de tout autre moyen de communication, l'enseignement
fut pour Abou Chouaïb Doukkali le vecteur privilégié de
transmission de ses idées. Ses prêches dans les écoles
coraniques, les mosquées et les zaouias lui fournirent l'occasion
de répandre sa doctrine.
L'étendue de ses connaissances, son ouverture sur les autres
courants de pensée au Maroc et l'encouragement du Makhzen lui
permirent de mener à bien sa mission de réformateur.
Ses conceptions, défendant un traditionalisme rénové, trouvèrent
un grand écho auprès des Marocains de toutes catégories sociales
et intellectuelles. Ses disciples l'aidèrent à mener à bien sa
tâche à un moment où le Maroc était sous domination coloniale.
Ils édifièrent des institutions d'enseignement moderne, reposant
sur la doctrine nouvelle de la Salafiya et prirent part à diverses
actions du mouvement national de libération.
Nouveaux horizons
Loin de se limiter à ce domaine politique, l'école d'Abou Chouaïb
Doukkali ouvrit de nouveaux horizons à la pensée marocaine,
malgré l'atmosphère de stagnation intellectuelle caractérisant
les années 20 de ce siècle.
Ce génie réformateur passa toute sa vie au service de sa patrie.
La liberté de son pays fut l'une de ses préoccupations
primordiales; il ne cessa de la défendre en toutes occasions.
Pendant la maladie qui devait l'emporter, il fut honoré de la
visite que lui rendit feu Sa Majesté Mohammed V. Il s'éteignit à
Rabat le 17 juillet 1937 (correspondant à l'année 1356 de
l'Hégire). Il repose dans cette ville, face à Dar Achraf Ouezzan,
boulevard Sidi Fath.
Texte tiré du site de l'université Chouaïb
Doukkali
Nos remerciements à Si
Abida pour ce précieux document:
Abou Chouaïb Doukkali Ben
Abderrahmane Seddiki Doukkali naquit le 20 octobre 1878 dans le
village d'Oulad Amrou Al Gharbia, situé à 30 Kilomètres de la
localité d'Al Gharbia, connue auparavant sous le nom de Mechtraya,
dans la région des Doukkala. C'est là qu'il fut élevé et reçut
une éducation alliant études et travail des champs. Son premier
maître fut son oncle Mohamed Ben Abdelaziz Doukkali; il reçut
ensuite les leçons de l'oncle de son père Abderrahmane et, enfin,
de son cousin Tahar Ben Kaddour Al Gharbi Doukkali.
Dans les livres des écrivains les plus réputés de l'époque, il
apprit l'écriture et la lecture. Il apprit également le Coran et
se perfectionna dans ses sept lectures sous la férule de son
maître Mohamed Ben Lamaachi, ami de la famille Seddiki.
De nombreux historiens rapportent que, dès sa jeunesse, Abou
Chouaïb avait de grandes facilités d'apprentissage. Ainsi, en
1891, âgé de treize ans seulement, remporta-t-il un concours
scientifique organisé par
le Palais Royal sur l'ordre de Sa Majesté Moulay Hassan 1er.
Assiduité
Les organisateurs furent surpris, non seulement de sa grande
maîtrise du Coran, mais également de sa parfaite connaissance des
règles de la grammaire et de la syntaxe. Le Souverain le convia au
Palais, ordonna qu'on le récompensât pour son savoir et le nomma
à la célèbre Université Qaraouiyine, avec appointements
mensuels.
Animé de la soif du savoir et du désir de parfaire sa culture,
Abou Chouaïb partit pour l'Orient et fut le disciple des grands
savants d'Al Azhar, de la Mecque et de Médine.
Ceux-ci le récompensèrent pour son assiduité et ses remarquables
aptitudes à l'étude. D'autres sociétés savantes du Yémen,
d'Irak et d'Inde lui attribuèrent également des récompenses.
Ses mérites furent tellement appréciés qu'on lui attribua une
chaire à l'Université d'Al Azhar, alors qu'il n'avait pas atteint
20 ans. Il fut même invité à prononcer le prêche à la Mecque,
après avoir remporté le premier prix d'un grand concours organisé
par Al Azhar.
Bienfaits
Lors de son séjour au Hijaz, il établit de nombreux contacts avec
les savants et les dignitaires de cette contrée et noua d'étroites
relations avec les princes de ces pays.
En 1907, onze ans après son départ pour l'Orient, Abou Chouaïb
retourna au Maroc. Il avait alors 29 ans. Convaincu de la qualité
et de l'étendue de son savoir, le Sultan Moulay Abdelhafid le
convia à son Palais, l'entoura de ses bienfaits et le nomma juriste
à Marrakech et Président du Conseil scientifique de la ville de
Fès. Il l'autorisa également à assurer des cours dans
différentes villes du Royaume, particulièrement Rabat, Fès et
Marrakech.
Abou Chouaïb bénéficia des mêmes privilèges sous les règnes de
Moulay Youssef et de Mohammed V. En sa qualité d'homme de droit, il
fut nommé ministre de la Justice et Président de la Cour d'Appel
de Rabat. Il conserva parallèlement ses fonctions d'enseignant.
Le nom d'Abou Chouaïb Doukkali est lié également à la
propagation de la doctrine de la Salafiya dans la pensée marocaine.
L'importance du rôle qu'il a joué est en étroite relation avec sa
fonction d'éducateur. Il enseigna en effet le Fikh - en général -
et le Hadith et le Tafsir en particulier.
Vecteur de transmission
L'objectif de son enseignement fut d'approfondir l'explication du
Coran et de la Sounna, qu'il considérait comme la base de tout
comportement.
Tenant de la Salafiya, il préconisait de s'appuyer sur la tradition
religieuse. Il rejetait ainsi tout ce qui s'écartait de la
religion, de même que les agissements, les traditions et coutumes
ne relevant pas de l'Islam et toute action susceptible de lui être
préjudiciable.
En l'absence de tout autre moyen de communication, l'enseignement
fut pour Abou Chouaïb Doukkali le vecteur privilégié de
transmission de ses idées. Ses prêches dans les écoles
coraniques, les mosquées et les zaouias lui fournirent l'occasion
de répandre sa doctrine.
L'étendue de ses connaissances, son ouverture sur les autres
courants de pensée au Maroc et l'encouragement du Makhzen lui
permirent de mener à bien sa mission de réformateur.
Ses conceptions, défendant un traditionalisme rénové, trouvèrent
un grand écho auprès des Marocains de toutes catégories sociales
et intellectuelles. Ses disciples l'aidèrent à mener à bien sa
tâche à un moment où le Maroc était sous domination coloniale.
Ils édifièrent des institutions d'enseignement moderne, reposant
sur la doctrine nouvelle de la Salafiya et prirent part à diverses
actions du mouvement national de libération.
Texte du site Internet de l'université Chouaïb
Doukkali
Nos remerciements à OULEDELHADJ
pour ce précieux document:
ينتسب
المحدث
الحافظ
أبو شعيب
بن عبد
الرحمن
الدكالي
الصديقي
إلى بيت
الصديقات
من قبيلة
أولاد
عمرو،
إحدى
قبائل
دكالة
العربية،
والمستوطنة
قرب مدينة
الغربية
جنوب
مدينة
الجديدة،ورث
العلم
والنباهة
عن أسرة
اشتهرت
بالعلم
والفضل
والصلاح،
وتعدد
علماؤها
من أمثال
الشيخ
الصالح
أبي فراس
عبد
العزيز جد
أبي شعيب
الدكالي،
وعميه أبي
شعيب
ومحمد
ابني عبد
العزيز،
فسار على
نهجهم،
وصقل ذلك
الإرث
بالممارسة
والرحلة
إلى منابع
العلم
الصافي،
وحاز
مكانة
رفيعة بين
علماء
المغرب
والمشرق. |
تلقى
أبو شعيب
الدكالي
تعليمه
الأولي
بمسقط
رأسه، على
يد شيوخ
وعلماء
القبيلة
وعلمائها
من أمثال
العلامة
ابن عزّوز،
والعلامة
محمد
الصديقي،
ومحمد
الطاهر
الصديقي
وغيرهم. ثم
انتقل إلى
الريف حيث
زاول بها
دروس الفقه
والحديث
والقراءات.
وفي سنة 1315 هـ
رحل إلى مصر
فمكث بها
مدة طويلة
وأخذ فيها
العلم عن
علماء
الأزهر مثل:
شيخ
الإسلام
سليم
البشرى،
والعلامة
الشيخ محمد
بخيت،
والشيخ
محمد محمود
الشنجيطي
اللغوي
الشهير،
والشيخ
أحمد
الرفاعي
وغيرهم
كثير. وبعد
ذلك قصد مكة
المكرمة
طلبا للعلم
والمعرفة،
ودرس على يد
جل علمائه
ا، وأجازه
عدد كبير من
شيوخ العلم
من البلاد
العربية
كاليمن
والعراق
والشام
إضافة إلى
بعض علماء
الهند. و حظي
عند أمير
مكة،خلال
هذه
الفترة،
بالحظوة
الحسنة
فأكرمه
وبالغ في
احترامه
وتعظيمه،
وقدمه في
مجالس
العلماء،
وولاه بعض
الوظائف
الدينية،
كالخطابة
في الحرم
المكي،
والإفتاء
في المذاهب
الأربعة.
وفي
سنة 1325 هـ ـ 1907 م
عاد إلى أرض
الوطن
واستقر
بمدينة
فاس، وقربه
السلطان
مولاي عبد
الحفيظ،
وتهافت
عليه علماء
فاس
وطلبتها
وأعيانها.
وفي هذه
الفترة
أعلن
مواجهته
البدع
ومقاومة
الخرافات
والأباطيل،
ونصر السنة
وقيم الدين
الإسلامي
الصحيحة،
وفي سنة 1328 هـ
أرسله
المولى عبد
الحفيظ إلى
الحجاز
لاقتناء
أملاك تحبس
على
الحرمين. ثم
عاد إلى
المغرب في
السنة
الموالية 1329
هـ وقد بزغ
نجمه وذاع
صيته في كل
البلاد
العربية،
فولاه قضاء
مراكش،
واشتهر
بالنزاهة
والعدل. وفي
سنة 1330 هـ تم
تعيينه
وزيرا
للعدل
والمعارف.
وفي سنة 1342 هـ
ـ 1923 م قدم
استعفاءه
لأسباب
صحية فمنح
إذ ذاك
اعترافا له
بالجهود
التي بذلها
في مهامه؛
لقب" وزير
شرفي".
وكانت
دروس أبي
شعيب
الدكالي في
مدينة فاس
نموذجا حيا
لطاقة
علمية
كبيرة،
واطلاع
واسع في كل
مجالات
علوم
الدين، من
علوم
الحديث
والسنة،
وفقه معاني
الآثار،
ومعرفة
دقيقة برأي
أئمة
المذاهب،
وعرف عنه
حفظ
المتون،
والجمع بين
الروايات
ومعرفة
المخرجين
والتابعين،
وأنساب
الرواة
وتراجمهم.
كما كان
عارفا
بعلوم
القرآن
وقراءاته
وإعرابه
وناسخه
ومنسوخه،
وأحكامه
ومعانيه،
ووجوه
بلاغته،
وأنواع
تفسيره،
متمكنا من
علوم اللغة
العربية
بأنواعها.
وكان مقصد
العلماء
والطلبة،
وسمع عنه
عدد كبير من
العلماء
سواء بفاس
أو غيرها من
المدن
الأخرى
التي حل بها
في بلدان
المغرب أو
المشرق،
حيث ألقى
دروسا
بالأزهر
بمصر
وبجامع
الزيتونة
بتونس.
وتتلمذ على
يديه جيل من
العلماء
والمفكرين
المغاربة
الذين
أسهموا في
بناء
المغرب
الحديث.
ونظرا لهذه
الدرجة
العلمية
العالية
أحرز
الرياسة
العلمية في
الدروس
السلطانية
بالقصر
الملكي على
عهد
السلطان
مولاي عبد
الحفيظ ،
والسلطان
المولى
يوسف،
والعاهل
محمد
الخامس
الذي ظل في
كنفه إلى أن
وافته
المنية سنة
1937.
Texte tiré à partir du site: http://www.islam-maroc.ma/ar/detail.aspx?ID=1386&z=386&s=345
Mes remerciements à Si JVAC, pour
ces informations
AU NOM DU PÈRE
Lorsque son père est décédé, le fils aîné avait à peine 3
ans. Un âge où l'on ne réalise pas encore ce qui se passe.
Ihssane Mounir, le gosse, garde des souvenirs vagues de son
géniteur qui n'est autre que Abderrahmane Mounir Doukkali,
ex-secrétaire d'État à la Jeunesse et des Sports. Celui-ci, ainsi
que trois autres ministres marocains, a laissé la vie suite à une
attaque terroriste à Rome en 1974. Un commando palestinien armé
jusqu'aux dents a fait irruption dans l'avion qui s'apprêtait à
partir en Iran et a ouvert le feu sur les passagers de la première
classe.
Erreur malheureuse et fatale, les membres de la délégation
marocaine ont été pris pour des responsables israéliens. Une
tragédie. Diplômé d'études supérieures en sociologie,
Abderrahamne Mounir Doukkali était âgé alors de 34 ans. La fleur
de l'âge. Ihssane Mounir a vécu avec cette perte cruelle.
Récompense
Le père qu'il n'a pas connu vraiment et dont il a reconstitué plus
tard le parcours et les souvenirs par ceux qui ont côtoyé le
défunt. C'est sa mère qui s'est occupée toute seule de son
éducation et de celle de son frère cadet qui travaille chez Cisco
en Californie, un groupe leader en matière de télécommunications.
À 27 ans, Ihssane lui, a réussi à faire carrière dans une des
multinationales les plus prestigieuses dans le monde, Boeing. Armé
de ce succès professionnel, il était récemment au Maroc pour se
ressourcer, retrouver les traces de son enfance et surtout honorer
la mémoire de son père. Chaque année en effet, un cross country
est organisé, à Sala El Jadida par l'association sportive de cette
ville (section athlétisme) en souvenir de Abderrahmane Mounir, qui
était également président de la Fédération royale marocaine
d'athlétisme. L'édition de cette année, la 20ème, est
différente des précédentes. Ihssane Mounir a assisté, dimanche
21novembre à la manifestation qui ne s'est pas déroulée depuis 5
ans. Problème d'argent certainement.
Mounir a alors convaincu son employeur de sponsoriser l'événement.
Le numéro un mondial de l'aéronautique a accepté d'autant plus
qu'il a l'habitude de participer financièrement à de nombreuses
actions sociales et sportives, notamment aux États-Unis. Ce
parrainage annonce certainement le désir de la compagnie de
s'intéresser à l'avenir à l'évolution sociale en cours au Maroc.
L'opération cross Country est également une manière choisie par
Boeing de récompenser un de ses hauts cadres issus du Maroc. Une
implication personnelle et un engagement symbolique de la part du
fils pour qui la mémoire de son père, chère et précieuse, vaut
tous les sacrifices.
Ihssane Mounir veut suivre l'exemple de son père qui, de par son
poste à la tête de la Jeunesse et Sports, était impliqué dans un
certain nombre d'activités à caractère social.
Ihssane Mounir prend du grade à Boeing. Jeune et dynamique, il
vient d'être promu directeur marketing pour le Maghreb, l'Arabie
Saoudite, l'île Madagascar, l'île de la Réunion et le Gabon. Il
se dit très heureux d'apporter à son pays l'aide nécessaire en
matière d'aéronautique dans le cadre des nouvelles technologies
développées par Boeing. L'enfant prodige de Salé est réputé
chez le constructeur américain pour être un passionné des défis.
Article de la revue Maroc-Hebdo
Nos remerciements à DAOUKI
Hassane
pour ce précieux document:
Re: Les Ami(e)s de Sidi Bennour et sa
Région
Date: le 13 juillet 2007 à 18h09
Bonjour à tous,
Lehssane Mounir n'est qu'une suite
logique de cadres et d'une élite maocaine aux Etats-Unis qui fait
la fierté du Maroc. L'histoire du Maroc et des Etats-Unis est
très ancienne et les deux pays se liés d'une grande amitié car
le Maroc était le premier pays à reconnaitre depuis le ville de
Meknès l'indépendance et l'existence des Etats-Unis lors du
règne de Sidi Mohamed Ben Abdellah.
Mr Lhssane Mounir a suivi les traces d'un autre Doukkali qui est
était parti aux Etats-Unis en 1540 et qui s'appelle Said Ben
Haddou d'Azzemour. Ce dernier était devenu le premier gouverneur
de floride jusqu'à sa mort en 1549.
En son hommage, une association appelée “Association Estivanico"
a été créée en Floride, plus précisément à El Paso. Voir ce
lien pour plus de détails: [ www.maroc-hebdo.
press.ma]
Nos remerciements à N7abb-bladi
pour ce précieux document:
Said BENHADDOU
De : Abdel-Ilah BENAHMED [mailto:abdou1949@gmail.com]
Envoyé : lundi 7 janvier 2013 13:50
À : malek.rharrab@laposte.net
Objet : Re: Doukkala_INFO
S'agissant du navigateur Said BENHADDOU,dont
la vie a été succintement retracée au sein de votre site Web,
j'ai effectué une petite recherche sur google et
je vous en livre la synthèse
dans le pdf ci-joint. J'espere que ce papier apporte
quelques éclaircissements sur la vie de ce presigieux Doukkali ! La
plupart des paragraphes de ce pdf sont des
"copier-coller", mais pas le titre du document; c'est
moi-meme qui l'ai conçu.
J'ai remarqué que votre site manque un
peu de photos et d'enregistrements audio relatifs aux Doukkala.
Pourtant, de telles ressources existent en abondance sur Internet,
et les internautes amis de votre site pourraient vous en
envoyer.Je suppose que vous etes surtout bloqués par le problème
juridique des droits d'auteur protégeant ces photos ou audios.
Nos remerciements à Si Abdel-Ilah
BENAHMED pour ce précieux
document

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