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A tous ceux qui connaissent
l'histoire de notre ville et sa région, écoles, collèges,
lycées, etc, faites le savoir. J'attends vos textes, et recherches.
Je vous remercie par avance. Malek
Sommaire:

La région "doukkala" occupait autrefois un
territoire plus étendu que les doukkala 'actuels .ce territoire
allait presque jusqu'à les "Abda", les "Ahmar",
les "Rehamnna" et les "Seragharna", peu être
même une partie des "Chiadma" et des "Haha"
actuel. IL est difficile de retrouver l'origine certaine des
populations qui occupent actuellement les doukkala ;et en dehors des
tribus arabes hilaliennes qui y ont été établies au 12ème
siècle par le khalifa(sultan) YACOUB AL-MANSOUR ;on ne peut pas
guère arriver qu'à des suppositions. De plus, les auteurs anciens
ne sont pas d'accord sur la situation exacte des populations dont
ils parlent ;et il y a toujours eu dans ces populations des
déplacements causés par leurs luttes entre elles et par des
invasions étrangères. On ne sait donc en réalité rien de positif
sur les populations berbères qui occupaient dans l'antiquité la
région des doukkala ni sur l'époque où ces populations ont été
désignées sous ce nom .D'après un ouvrage du 13ème siècle
écrit par Ahmed ben Mohamed el-khayyat ed-doukkali el-mouchtaraie((Salsalat
ed-dahab el-manqoud)), ces tribus (berbères)étaient de six, à
savoir: les Regraga; les Béni Dghoug; Les Béni Maguer , les
Mouchtaraia, les Hazmir et les Cenhadja: cinq d'entre elles
appartenaient aux macmouda et une aux Cenhadja. La plupart de ces
noms ont d'ailleurs disparu: ils n'existent plus pour désigner les
tribus... Les doukkala étaient une tribu berbère soit Masmoudienne,
soit Sanhajienne; dont le territoire avait pour limites: l'Océan au
nord-ouest, l'Oum er-rabie au nord-est; l'Atlas ou la chaîne des
Djebilates au sud-est ,la région des Haha au Sud-ouest... A la
suite de l'invasion Hilalienne, les Berbères furent refoulés dans
l'Atlas ou se mêlèrent, des envahisseurs, de sorte que la
dénomination de Doukkala n'a plus aujourd'hui de signification
ethnique et désigne les tribus arabes ou arabisées habitants une
partie du territoire de l'ancienne population berbères appelée
Doukkala.
Nos
remerciements à Si Mostafa BELFARJI pour ce document.
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Lors du partage de
l'empire Idrisside en 213 hégire /828 après jésus, la région
dépendant d'Azemmour et de Chellah aurait échu à Aîssa fut
vaincu par son frère Omar, gouverneur des Ghomara et des Cenhadja,
et son commandement serait alors passé aux mains de ce dernier. Le
commandement d'Omar s'accrut aussitôt après celui de KACEM,
gouverneur de Tanger, qui avait refusé de marcher contre Aîssa, à
sa mort, il passa aux mains de l'un de ses fils. D’autre part, la
région des doukkala aurait, d’après Zemmouri, l’apanage de
Moussa, frère d'Aîssa et d'Omar... Comme tous les frères de race,
les Doukkala participèrent à la coalition générale des
autochtones contre l'invasion Almoravide. Puis il, la première
impulsion fanatique étant tombée, la dynastie Sanhajienne des
Almoravides devient plus tolérante sur son déclin; menacée par
les Almohades, elle trouve un appui chez les Cenhadja cantonnés
parmi les doukkala, et les doukkala eux -mêmes s'unissent à eux
pour repousser les assauts des farouches Almohades. Les doukkala
firent même des incursions sur le territoire de Marrakech. En 554
hégire/1149 après jésus Abdel El-Moumen évite les embuscades des
doukkala et les prend à revers sur un terrain rocheux où ils
s'étaient retranchés; " La plupart furent massacrés, leurs
chameaux; leurs moutons et tous leurs biens furent pillés; leurs
femmes et leurs enfants furent réduits en esclavage, si bien que le
prix de vente d'une belle jeune fille tomba à quelques
dirhams"... C'est la fin du 12ème siècle ,sous le règne de
l'Almohade YACOUB AL-MANSOUR que date le premier établissement des
tribus arabes au Maroc: les RIYAH reçurent comme emplacement le
Hadt et l'Azghar; les JOCHEM, la Tamesna. Aux Jochem appartiennent
les Sofyan; les Béni Jâber et les Khlot. Les Athbej, divisés en
Acem et en Moqaddem, s'établirent, semble-t-il, sur les terres des
Doukkala. Les Athbej avaient formé cinq cent quinze douars. Comme
toutes
les
tribus arabes du Maroc, ils fournissaient des contingents au sultan:
ils furent jusqu'à la fin dévoués aux Almohades qui leur avaient
attribué ces plaines fertiles. Les Sofyan n'eurent pas la même
fidélité envers cette dynastie; et leurs chefs ; les uns après
les autres, prirent parti pour les Mérinides. Sous les ordres de
Kânoun ben Jermoun, ils s'emparèrent d'Azemmour. Vaincus l'année
suivante par les Almohades, les Sofyan se dirigèrent vers le nord
pour s'installer dans les territoires soumis aux mérinides.
Quelques temps après en 1259 après jésus/658 H, l’Oum er-rabei
fut désignée comme ligne de démarcation entre les territoires
Mérinides et almohades. Les Doukkala dépendirent donc des
Almohades de Marrakech. Abou-Debbouss; le dernier des souverains
almohades s'appuie sur les Mérinides pour s'emparer du pouvoir.
Mais il refuse de remplir les conditions du pacte passé entre eux
et le sultan Mérinide vient l'attaquer. Des sanglants combats
eurent lieu dans les Doukkala. Abou-Debbouss fut tué (30 dilhijja
667 H // 30 août 1269 après jésus): Ce fut la fin de la dynastie
almohade. Après la chute des almohades, les tribus arabes qui les
avaient soutenus furent condamnées par les Mérinides au versement
de fortes contributions de guerre et accablées d'impôts. On trouve
les Djochem et les Athbej aux côtés de Yacoub ben Abdel-Haq en
1272 a.j/ 670 H à la bataille de "ISLY " contre
Yaghmrosen.Ensuite vinrent les grandes expéditions en Espagne,
auxquelles participèrent toutes les tribus du Maroc... Une nouvelle
tribu arabe, les Zoghba Soueîd, avait été amenée dans la Tamesna
sous le règne de Yacoub ben Abdel-Haq pour repeupler un pays à peu
près dévasté et surtout pour tenir en respect les Djochem et les
Athbedj, amenés par les Almohades et dévoués à eux... On sait
qu'à partir du 14ème siècle, les tribus arabes de la Tamesna
commencèrent à remonter vers le nord où elles remplacèrent peu
à peu les Riah, décimés en 1307 a.j/ 707 H par le sultan
mérinide Abou Thabet Amr ben Abdallah ;cet exode avait été
précédé de celui des Sofyan, qui en 1246 avaient abandonné les
parages des doukkala et sans doute toute la Tamesna à la suite des
événements rapportés plus haut. IL ne restera bientôt plus dans
la région des doukkala que des groupes isolés de race arabe et
surtout des Athbedj; les éléments primitifs reparaîtront plus
tard, plus ou moins mélangés et à peu près entièrement
arabisés de langue et de coutume. La fusion des arabes et des
berbères semble avoir été très lente en Doukkala et on verra
qu'au 16ème siècle on distinguait encore nettement les tribus
arabes des tribus berbères.
Nos
remerciements à Si Mostafa BELFARJI pour ce document.
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Au
XIIe siècle, les DOUKKALA étaient encore peuplés de tribus
berbères masmuda et sanhadja appartenant à la confédération
barghawata ; aujourd'hui, l'arabisation est totale.
La
région connue sous le non de Doukkala occupait autre fois un
territoire plus étendu que les Doukkala actuels, ce territoire
allait presque jusqu'à Marrakech et comprenait ce qui constitue
aujourd'hui les Abda, les Ahmar, les Rehamna et les Seraghna
peut-être même une partie des Chiadma et des Haha actuels.
Les
Regraga :
Ont joué un rôle considérable, en effet on les retrouve dans
toutes les régions du Maroc.
Les
Beni Drough :
n'existent plus en tant que tribus, il en resterait une petite
fraction dans les Doukkala actuels chez les Oulad Amrane et quelque
famille mêlées aux Regraga.
Les
Beni Maguer :
Qui étaient établis entre le Djebel Mouisat et Safi et qui ont
donné à cette ville son patron Abou mohammed çalih el Maguiri, ne
se trouvent plus guère que chez les Aounate des Doukkala, dont ils
forment environ la moitié de la population.
Les
Cenhadja :
Occupaient le bord de la mer et on ne trouvent qu'en petit nombre.
Les
Hazmir :
Occupaient approximativement le territoire ou se trouve aujourd'hui
les Rhamna et une partie des Sgharna. Ils n'existent plus.
Les
Mouchtaraia :
Occupaient le centre des Doukkala près de Sidi Bennour, ils
n'existent plus avec cet ethnique mais il en restait trois fractions
: les Beni Medasem, les Beni Oura et les Battioua.
Certains pensent qu'il faut dire : Mouchanzaia et non Mouchtaraia.
Cette
division des Doukkala en six tribus, rapporté par la tradition n'a
sans doute été que passagère et il est difficile d'en fixer
exactement la date.
Sous
la dynastie Al Mouravide et dans les premiers temps de la dynastie
Al Mohade, les trois tribus des Beni Dghough, des Beni Moguer et des
Mouchtaraia occupaient dans les Doukkala une partie importante.
Quoi
qu'il en soit, la division de Doukkala en six tribus, rapporté par
la tradition, ne semble pas être prolongée sous la dynastie al
Mohade.
Les luttes des tribus entre elle, les envois de troupes en
Andalousie, la destruction des Berghouata et les massacres ordonnés
par Abdelmoumen tout cela avait causé des vides considérables, ce
qui permet à Yacoub El Mansour, de diviser les Arabes du Maghreb
central, d'amener au Maroc une partie de leurs tribus.
Pour ce procédé, il affaiblissait les Arabes, il remplait
certaines régions de l'Ouest de son Empire et il espérait en même
temps pouvoir avec ces Arabes auxquels il donnait de territoires en
partie dépeuplés, constituer des tribus militaires dévouer au
Makhzen et qui occuperaient les plaines en maintenant les berbères
dans les montagnes après les avoir refoulés.
L'organisation
administrative actuelle s'est réalisée par un tassement progressif
des tribus Arabes et par leur mélange avec les berbères restés
sur place, pendant la fin de la dynastie Al Mohade et pendant la
dynastie mérinide.
Plaines intérieures et collines, le plus souvent alignées,
représentent les formes dominantes du relief.
Les bons sols sont fréquents, mais le climat semi-aride et
l'irrégularité des pluies pèsent sur l'agriculture.
Grâce
au développement des centres ruraux qui évoluent et se transforme
en ville de petite et de moyenne taille (Sidi Bennour, Sidi Smail,
Khémiss Zemamra ... ), l'émigration rurale, notamment vers
Casablanca, s'est atténuée.
Le minifundium est par ailleurs devenu la forme dominante de la
propriété.
En
parcourant l'histoire des Doukkala, trois localités attirent
l'attention à savoir :
1.
La ville d'El jadida,
2. la ville d'Azemmour,
3. la cité de My Abdellah Amghar.
La
ville d'El jadida, connue jadis sous les noms d'El Brija, El
Mahdouma et puis Mazagan. Elle fut construite par les Portugais
entre 1510 et 1520.
La
ville d'Azemmour nom berbère qui désigne l'olivier.
My
Abdellah Amghar : ce haut lieu de l'histoire sert de cadre chaque
année au célèbre Moussem de fantasia et à l'occasion duquel se
dressent pendant 10 jours quelques 800 tentes ( plus de 240 000
visiteurs ) et où se ressemblent plus de 1000 cavaliers.
Actuellement
la Province d'El jadida est divisé en huit tribus à savoir :
1.
Chtouka ( Nord-Ouest de la Province)
2. Haouzia ( Nord de la Province)
3. Oulad Bouaziz (Ouest de la Province)
4. Oulad Frej ( Nord-Est de la Province)
5. Bou Zerrara ( Centre de la Province)
6. Aounate ( Est de la Province)
7. Oulad Amor ( Sud-Ouest de la Province)
8. Oulad Amrane ( Sud de la Province)
Nos remerciements à Abida
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Suite à des recherches scientifiques et une bibliographie
abondante, voici un site qui montre les restes de civilisations
berbères très ancienne à Doukkala. Tazouta est une construction
d'une cabane comme un bol à l'envers et tourfi est un silo
entérrée ou creusé dans le roche pour cacher ou ammgasiner tout
ce qui est valeureux.....
Voici le lien :
[www.pierreseche.com]
Par : Aboulkacem CHEBRI
Archéologue restaurateur
Directeur du Centre du Patrimoine Maroco-Lusitanien
El-Jadida (Maroc)
Doukkala est une des riches régions de cette nation marocaine riche
en histoire et en civilisation. Avant la subdivision en Doukkala
(Province d'Al-Jadida) et 'Abda (Province de Safi) puis la
réunification actuelle en Région Doukkala-'Abda, Doukkala fut une
seule région limitée par les Chaouias au Nord et à l'Est et
s'étendait au Sud jusqu'au fleuve Tensift.
Berbère de pur sang, Doukkala va être en partie et progressivement
peuplée par des tribus arabes que les sultans marocains (surtout
sous les Almohades et les Sa'adiens) avaient installées sur les
axes de commerce et les routes du sultan ainsi qu'autour des grandes
villes telles Marrakech, Fès, Oujda et Rabat. Raison de plus, les
Berghouata avaient fait de Doukkala et Chaouia l'Etat Major d'un
Etat qui voulait répandre une lecture singulière de l'Islam. Leur
Emirat s'étendait géographiquement de Bouregrerg au Tensift et
historiquement du VIIIème siècle à la moitié du XIIème.
La majorité des villes de ce grand Doukkala furent fondées bien
avant l'arrivée de l'Islam. En revanche, l'époque islamique et
surtout les empires marocains des Almoravides aux 'Alaouites vont
gratifier cette région par des fondations de grande valeur
historique, architecturale et architectonique. En témoigne, les
villes d'Azemmour, Safi et Tnine Al-Gharbia, les Kasbah de
Boula'ouane et Oualidia, les Ribats de Tit (Moulay 'Abdallah), d'Agouz
(Souira Leqdima ou Souiria) et d'Al Moujahidine. Quant à la
préhistoire, Doukkala a de quoi s'enorgueillir avec les
inégalables sites de Jbel Ighoud (Province de Safi) et les Grottes
d'Al-Khenzira (Province d'Al-Jadida) qui ont d'ailleurs tant
apporté à notre connaissance de la préhistoire marocaine, tant en
échantillon humain qu'en outillage lithique.
Gratifiée par Dieu par une terre fertile, sauf pour l'olivier, et
par des plages attachantes le long d'environ trois cent km,
l'histoire n'a pas manqué d'ennoblir notre grand Doukkala par le
passage de grands façonneurs de l'histoire humaine. Les Berbères
autochtones d'abord, les Arabes avec l'arrivée de l'Islam et toutes
les Dynasties marocaines passant par le passage immortel et
immortalisé des Portugais.
A Doukkala-'Abda, nous regardons et touchons des monuments et nous
sentons l'âme grandiose de quelques gros calibres de l'histoire du
Maroc tels 'Ali ben Youssef l'Almoravide, Ya'qoub Al-Mansour l'Almohade,
Moulay 'Abdelmalek le Sa'adien et les 'Alaouites Moulay Isma'il,
Sidi Mohamed ben 'Abdallah, Moulay 'Abderrahmane, Mohamed V entre
tant d'autres.
Si Doukkala est donc riche en patrimoine préhistorique et
islamique, les Portugais ont beaucoup marqué sa carte patrimoniale.
Ayant signé des accords de suzeraineté avec les notables d'Azemmour
et Safi respectivement en 1486 et 1488, le Portugal occupe Mazagan
en 1502, Agouz en 1506-1507, Safi en 1508 et Azemmour en 1513. Les
deux dernières furent libérées en 1541, Agouz vers 1525 et
Mazagan le 11 Mars 1769. Durant cette période d'occupation, les
Portugais avaient construit de toute pièce le Castelo do Mar à
Safi et la forteresse de Mazagan sur un noyau berbère. Dans les
Médinas d'Azemmour et Safi ils ont réadaptés l'existant à leur
besoin, comme ce fut le cas à Ceuta, Tanger, Asilah et Qsar Seghir.
A Doukkala-'Abda nous lisons l'amertume d'une époque éphémère de
régression d'une nation qui sait faire un pas en arrière pour deux
en avant. Notre région illustre très bien l'hégémonie portugaise
entre le XV ème et XVIII éme siècles. Mais elle nous rappelle
également, en plus de la libération de la majorité des villes et
la mémorable victoire de la Bataille des Trois Rois, la Libération
spectaculaire de Mazagan, la ville que les Portugais chérissaient
au même titre que Lisbonne à tel point qu'ils iront au Brésil
fonder sur l'Amazone Vila Nova de Mazagão. Mazagan fut le signe de
l'orgueil portugais, elle est devenue l'orgueil des marocains. Son
libérateur n'était autre que le grand bâtisseur, le père
spirituel de la Diplomatie marocaine, le pionnier des batteries et
de la marine marocaine et le premier leader au monde a avoir reconnu
l'Indépendance des Etats-Unis d'Amérique, l'intellectuel et Grand
Sultan 'Alaouite Sidi Mohamed ben 'Abdallah (1757-1790), petit-fils
du Grand Sultan que les grands empires du monde craignaient,
l'éternel Moulay Isma'il (1672-1727).
Par conséquent, notre région de Doukkala est un témoin tangible
de la compréhension entre les grandes nations et de la cohabitation
entre les gens de confessions différentes. Si les Chrétiens ont
pratiqué leur culte sur cette terre en tant qu'envahisseurs, les
Juifs et les Musulmans, tous des Marocains, ont vécu comme partout
au Maroc dans un climat sain d'amitié et de respect mutuel. Après
le départ des colons et l'émigration des Juifs marocains, leurs
lieux de culte ont été préservés jusqu'à nos jours.
Les habitants de Doukkala sont aujourd'hui fiers du patrimoine
luso-marocain sur leurs terres au même titre que les portugais
eux-mêmes. Les monuments que les portugais avaient élevés à
Safi, à Azemmour et à Al-Jadida constituent une partie de l'âme
des marocains et des portugais en même temps. Les deux nations qui
ont appris à se respecter durant cette phase allant du XV ème au
XVIII ème siècles, passant par la Bataille des Trois Rois
(04-8-1578), ont également appris à regarder le passé avec l'œil
des grands et des intelligents. Une histoire commune en Andalousie
du VIII ème au XIV ème s'est poursuivie après, autrement, sur la
rive sud de la Méditerranée, ce Bassin de civilisation à qui les
deux nations avaient, conjointement et séparément, tant apporté.
Par amour au patrimoine et au Doukkala, nous promettons aux lecteurs
de revenir en détail sur les composantes du patrimoine
architectural de cette région.
A.C
Nos
remerciement à Si belmahjoub

Brève
histoire d'El Jadida :
http://www.rusibis.com/eol/histoire/histoire.asp?ar=1
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